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  • kimcat
  • J'ai 2 passions : les livres et les chats
 j'ai un fils de 31 ans, une fille de 28 ans ( aussi passionnée que moi pour les livres...)
 j'ai écrit un roman " LISABELLE "
 Une histoire qui a pour toile de fond, le chat...
  • J'ai 2 passions : les livres et les chats j'ai un fils de 31 ans, une fille de 28 ans ( aussi passionnée que moi pour les livres...) j'ai écrit un roman " LISABELLE " Une histoire qui a pour toile de fond, le chat...

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 Mon roman :  LISABELLE
 (mars 2008)
 http://lisabelle.briot.free.fr/

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http://portaildulivre.com


Mon 2e Blog : link

 

http://kimcat1b58.eklablog.com/ 

4 février 2012 6 04 /02 /février /2012 10:00
jack
Voici un bien belle histoire :
Jack Tripper, ce petit chaton a mal commencé dans la vie puisqu'il est né sans yeux...Son histoire débute dans une grange ou il né avec sa malformation.  Seul chaton de sa mère, il a grandi avec une autre portée et a été sociabilisé tres vite grâce a des enfants qui jouaient dans cette grange. Mais une fois que les chatons furent prets à l'adoption, dur de placer Jack à cause de son handicap... mais une bonne âme a fini par craquer pour lui ! Une jeune fille qui ne voulait pas le voir abandonné,  a decidé de lui offrir une famille. Au début, Jack restait toujours dans sa chambre, le temps de maitriser les bonds sur le lit. Les escaliers furent plus délicats, il arrivait a les monter mais pas à les descendre et pleurait... mais avec de la patience, de l'amour et tout ce qu'il faut pour le rassurer, il est devenu un minou intrépide ! Son handicap ? cela ne se voit pas !
"Jack est vraiment une source d'inspiration. J'ai possédé un grand nombre de chatons dans ma vie, mais Jack est le plus heureux de tous. Les gens qui connaissent Jack n'ont pas pitié de lui. C'est un petit tresor plein de vie. J'ai parlé avec quelques personnes qui ne l'ont pas rencontré personnellement et qui ont tendance à le plaindre, mais ils ne comprennent pas. Jack n'a pas besoin de pitié. Les chats ne sont pas des handicapés, les chats s'adaptent !" dit sa maitresse.
Source : Album des histoires et sauvetages extraordinaires
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3 février 2012 5 03 /02 /février /2012 10:00

jackie-evancho.jpg

                    Photo de Jackie Evancho prise par sa mère Lisa

J'ai découvert dernièrement Jackie Evancho, une angélique petite fille qui chante divinement bien. Sa voix est si pure, si claire, si phénoménale, qu'on en a des frissons. Jackie est née le 9 avril 2000 en Pennsylvanie. A l'âge de 10 ans, elle décroche la 2e place lors de la compétition de l'America's Got Talent. Depuis, elle connaît un immense succès en Amérique, à Londres, en Australie, au Japon. Elle a chanté, fin janvier, avec l'orchestre de Phiharmonic Tokyo. En plus de sa performance vocale, elle joue du piano, du violon et elle compose des chansons. La maturité de sa voix, forte et sans faille, est incroyable pour une personne de son âge. Si vous ne la connaissez pas encore, écoutez-la de toute urgence. J'ai choisi pour vous deux morceaux musicaux  :To believe et Angel

http://www.youtube.com/watch?v=foUrBztgzZA

http://www.youtube.com/watch?v=lUg7a-Ot-c4&feature=related

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2 février 2012 4 02 /02 /février /2012 10:00

gros-chat.jpg

                Tableau d'un guépard (auteur inconnu)

A noter que le Guépard a des yeux soulignés par une ligne noire ressemblant à une larme qui court de la naissance de chaque œil jusqu'à la bouche. Ces traînées améliorent sa vision en minimisant les reflets de la lumière du soleil.

Félins  vient de sortir en salles. A ne pas louper !!! Il s'agit d'un documentaire d'une heure 27 réalisé par Keith Scholey et Alastair Fothergill sous le label de Disney Nature : En Afrique, au Kenya, dans l’une des régions les plus sauvages du monde, les animaux vivent libres et loin des hommes. Au sud du fleuve qui divise ces magnifiques terres, règne le clan des lions mené par Fang. La lionne Layla y élève la jeune Mara. Entre chasse et liens familiaux puissants, c’est la vie d’une famille qui s’écrit. Au nord du fleuve, le lion Kali et ses quatre fils rêvent d’étendre leur territoire. Bientôt, les eaux seront assez basses pour que les maîtres du nord tentent leur chance au sud… Dans cet environnement où chacun joue sa survie chaque jour, Sita, une splendide femelle guépard, tente d’élever seule ses petits. Au fil des saisons, tous ces destins vont se croiser à travers une histoire qui n’est ni inventée ni mise en scène, mais captée comme jamais auparavant, de sa bouleversante intimité à sa spectaculaire beauté.

A voir ici sur le site de Disney Nature :

http://www.disney.fr/disneynature/films/felins/

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1 février 2012 3 01 /02 /février /2012 16:00

Norwegian Forest Cat Leo Paul Ruet

                   Chat des Forêts Norvégiennes à robe bleue

                               (Auteur Paul Ruet -Wikipedia)

Voici la suite de la Nouvelle d'Eryndel

http://plume-outre-reve.blogspot.com/

Avec son aimable autorisation

Aussitôt, une obscurité pesante, consistante, vivante m'enveloppa. Un rugissement infernal se déclencha soudain - je compris qu'il provenait de la machine. J'étais pris au piège, sans nourriture ni eau, sans air frais ni lumière.
Que faire ? Appeler ? Personne ne m'entendrait, le moteur couvrirait ma voix... Et puis j'osais à peine bouger. Le vacarme assourdissant blessait mes oreilles sensibles et me martelait cruellement la tête. La désagréable odeur de pétrole qui m'avait repoussé en entrant me donnait la nausée. Je finis par appeler, quoi qu'en dît mon bon sens, griffant les parois, fouettant l'air vicié de ma queue, tantôt gémissant, tantôt hurlant de toutes mes forces, au risque de me briser les cordes vocales... rien n'y fit. Alors je m'allongeai, épuisé, attendant le sommeil ou la mort.
Après un temps indéterminé, la faim et la soif m'assaillirent, de plus en plus pressants. Ma gorge brûlait, ma langue était soudée à mon palais et mon estomac se tordait douloureusement. Mais qu'y faire ? Incapable de supporter plus longtemps ce supplice je m'approchai de la masse sombre que mes yeux habitués à l'obscurité distinguaient confusément. C'est alors que je sentis de la graisse de machine. J'y goûtais pour la vomir aussitôt : elle avait un goût rance de rouille et de fer. Oui, mais j'avais si faim... Surmontant ma répugnance, je l'avalai.
Durant des jours et des jours, je dus me nourrir de cette graisse infâme, malgré mon dégoût et ma gorge parcheminée, respirant à peine, faiblissant d'heure en heure, de plus en plus malade. Puis, je me mis à délirer.
Non loin de moi, on avait posé une appétissante assiettée de viande et un bol d'eau fraîche. Je voulus manger, je voulus boire : je ne léchai que le sol poussiéreux. Ce qui me fit éternuer violemment et accentua ma soif.
Le temps passait. Combien d'heures, de jours, de semaines s'était-il écoulé ? Rêvais-je ? Ne rêvais-je pas ? J'avais soif. La provision de graisse de machine s'épuisait. Je crus entendre un grattement. Un rat ! Je bondis mais, hélas, mes griffes fendirent l'air sans rien saisir.
J'avais soif. Mon odorat me jouait des tours lui aussi. Je croyais sentir des fumets délicieux. Si je n'avais pas eu si soif, j'en eusse eu l'eau à la bouche.
Les secondes tombaient lentement, lourdement autour de moi, avec une telle désinvolture qu'elles semblaient me narguer. J'avais soif.
Soudain, le tangage cessa, le silence se fit. Enfin, la porte s'ouvrit. Sans attendre, rassemblant mes maigres forces, je me précipitai à l'extérieur, ronronnant de bonheur et de soulagement. Hélas ! Cette précipitation me perdit. La lumière du jour m'éblouit soudain, une douleur intense me vrilla les yeux et le crâne... Il n'est pas recommandé de passer de l'obscurité profonde à une vive lumière : j'étais aveugle.
Mais quel est ce bruit ? Quelqu'un s'approche de moi, je le sens. Quelqu'un respire devant moi et me regarde. Méfiant, je me rencogne contre le mur. Qui est-ce ? Ami ou ennemi ?
"Pauvre chat ! Si maigre, et aveugle encore ! N'aie pas peur, je ne te veux aucun mal. Laisse-moi te prendre dans mes bras."
Alors, je suis soulevé, caressé. On m'emmène. Une porte s'ouvre, se ferme et je suis posé sur quelque chose de doux et de moelleux. Un fauteuil ! Un siège confortable et douillet, enfin ! On me donne à manger, à boire ! Plus jamais je ne devrai fouiller les poubelles pour me nourri. Plus jamais il ne me faudra boire d'eau de pluie dans les gouttières. Mon bienfaiteur me brosse, puis me prend sur ses genoux. Heureux, je ronronne.
A présent, qu'importent ma cécité et le passé ? Désormais, je suis heureux. Mes sens sont suffisamment aiguisés pour que je ne regrette pas ma vue. Enfin... pas trop.

© Ne pas copier sans l'autorisation de l'auteur

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1 février 2012 3 01 /02 /février /2012 10:00
Norwegian-Forest-Cat-Leo-Paul-Ruet.jpg
                Chat des Forêts Norvégiennes à robe bleue
                         (Auteur Paul Ruet -Wikipedia)
Je vous propose de lire une Nouvelle rédigée en 1999, d'après un fait divers assez ancien, par ma copinaute Eryndel
Avec son aimable autorisation
Chat des rues, je ne puis compter que sur moi-même pour survivre : je dois me battre pour être respecté, me battre pour me nourrir, me battre pour vivre. Car la mort nous attend partout, nous, les gouttières, les errants jetés à la rue ou nés dans les poubelles. Elle peut surgir n'importe quand : sous la forme d'un chien enragé, d'une maladie incurable, d'une voiture folle surgissant à l'improviste...
Il n'en a pas toujours été ainsi, pourtant. 
Autrefois, j'avais un foyer. J'étais bien nourri, bien traité, heureux. Lorsqu'il pleuvait, je restais à l'abri et j'écoutais les gouttes d'eau crépiter sur les vitres en contemplant la rue grise et morne d'un œil serein. Aujourd'hui, par mauvais temps, je dois bon gré mal gré continuer à errer en quête de ma pitance, trempé jusqu'aux os, le poil hérissé. 
Auparavant, je n'étais jamais importuné par mes congénères. Je me contentais de les narguer, à l'abri derrière la fenêtre close, considérant avec mépris leurs regards envieux et leurs feulements pathétiques. Depuis la mort de ma maîtresse, je dois les affronter tous les jours pour conserver mon territoire.
Malgré tout, je n'étais pas malheureux, dans la rue. Une fois mon autorité établie, les autres matous finirent par éviter mon territoire. Nous ne nous battions plus qu'à l'époque des amours. Les hommes et leurs enfants m'évitaient - peut-être respectaient-ils mon ascendance aristocratique, moi qui étais un chat des forêts norvégiennes pure race ; oui, malgré mon pelage emmêlés, mon oreille déchirée et la balafre qui me barrait l'œil droit, je me tenais si fièrement et avec tant de dignité qu'ils ne pouvaient qu'être intimidés par ma royale prestance. Les autres, eux, n'étaient que des rustres à la démarche grossière. Forcément.
Oui, j'avais encore la belle vie, avant l'incident... Car aujourd'hui, à cause d'Elle, je suis incapable de me débrouiller seul. A cause d'Elle, je suis dans les ténèbres, obligé de ne plus me fier qu'à mon ouïe, à mon odorat et à mes vibrisses. Et ils sont beau être extrêmement sensibles, je ne regrette pas moins ma précieuse vision... pourtant, ce n'est pas ce que j'ai perdu de plus précieux.
Pourquoi donc suis-je passé un jour par les quais ? Pourquoi me suis-je arrêté devant une de ces montagnes flottantes que les hommes appellent des bateaux ? En contemplant cette chose hideuse, je m'étais souvenu qu'un ami de ma maîtresse avait voyagé sur un de ces navires, autrefois. Alors, Elle m'avait chuchoté : "Pourquoi ne pas monter à bord ? Tu en apprendras plus sur les êtres humains, de cette façon... Allez, saisis ta chance, grimpe !"
Maudite curiosité ! Je t'ai stupidement obéi et je l'ai bien regretté. Pourtant, tous mes sens se révoltaient, me criaient que j'étais en danger. C'est vrai, quoi : un chat n'a rien à faire sur un paquebot ! J'aurais dû écouter mon instinct et redescendre aussitôt. A la place, je m'enfonçai toujours plus profondément dans les entrailles du monstre. Bientôt, j'entrai dans une vaste salle où se trouvait une énorme machine. L'odeur qu'elle dégageait était atroce. Je voulus sortir. C'est à ce moment que la porte claqua sinistrement.
© Ne pas copier sans l'autorisation de l'auteur
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31 janvier 2012 2 31 /01 /janvier /2012 10:00

blog-distinction.png

Rosette et sa Domino retrouvée http://www.domino2.fr/  m'ont fait l'honneur d'être distinguée sur la Blogosphère le 23 janvier dernier. Il m'était difficile de faire une sélection afin de privilégier un blog plutôt qu'un autre. Car vous êtes tous méritants...  Alors j'ai choisi tout simplement 5 blogs qui ne parlent que de chats (car la gent féline est largement représentée ici) et que je ne vous avais encore jamais présentés. Si vous aimez les chats, vous apprécierez...

Les voici  par ordre alphabétique :

Des chats selon Jibie

http://des-chats-selon-jibie.over-blog.com/

Graffiti et Zingara de Miss Tigri

http://graffiti-zingara.over-blog.com/

Kokeen et sa petite famille Eole et Choupette

http://kokeen.over-blog.fr/ 

La Fée des Batailles, Marie et ses Abyssins

http://www.la-fee-des-batailles.com/

Les princesses de Nicole

http://difinimi.over-blog.com/

NB : J'ai rejoint dernièrement la communauté de Domino, Chatmicalement vôtre, et ce sera mon premier article publié au sein de cette communauté féline à souhait.

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30 janvier 2012 1 30 /01 /janvier /2012 16:13
petit-medley-chat-neige.jpg
Un petit rappel important à diffuser partout : Avec les grands froids, ayez le réflexe de frapper sur le capot de la voiture avant de rentrer votre véhicule ou de donner un petit coup de klaxon. Chaque année, des chats se réfugient près des moteurs pour trouver un peu de chaleur et meurent dans d'atroces souffrances... d'autres se mettent au chaud aussi sur les pneus, pensez-y aussi ! Partagez svp, beaucoup l'ignorent...
Ce message m'a été transmis par Georges Vool, un monsieur de 74 ans qui gère avec son épouse un Centre de Revalidation pour la Faune Sauvage (Agréé par le Service Public de Wallonie - Département de la Nature et des Forêts 4280 Wansin - Belgique) depuis presque 16 ans. 17 rapaces, 3 renards, 3 hérissons et 1 raton laveur séjournent actuellement dans le centre. Chez lui, Georges a  2 chiens (un berger de Brie et un berger Saint Hubert ) et 8 chats tous recueillis dans la nature. Il s'investit directement sur le terrain pour la défense et la protection animale. Il a été inspecteur pour plusieurs SPA, durant une dizaine d'années.
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30 janvier 2012 1 30 /01 /janvier /2012 10:01

rien-ne-s-oppose-a-la-nuit.jpg

Pour inaugurer ma première participation à la communauté "Echange de livres entre copinautes" de Khanel  

http://khanel3.over-blog.com/ je vous présente le dernier roman de Delphine de Vigan Rien ne s'oppose à la nuit  (titre inspiré des paroles d'une chanson d'Alain Bashung), que je viens de terminer. Après la lecture de No et Moi et Les Heures souterraines, j'ai découvert une Delphine de Vigan de 45 ans, intime avec ses secrets les plus enfouis, puisqu'elle écrit sur sa mère, Lucile, qui s'est suicidée avec ses bonnes raisons pour en arriver là, juste avant qu'elle ne reçoive le Prix des Libraires en 2008. Ce livre puissant et émouvant vous prend et ne vous lâche plus. C'est une plongée bouleversante au coeur de sa mémoire familiale. J'ai choisi pour vous quelques extraits : (p17) ... "Je ne sais plus quand est venue l'idée d'écrire sur ma mère, autour d'elle, ou à partir d'elle, je sais combien j'ai refusé cette idée, je l'ai tenue à distance, le plus longtemps possible, dressant la liste des innombrables auteurs qui avaient écrit sur la leur, des plus anciens au plus récents, l'histoire de me prouver combien le terrain était miné et le sujet galvaudé, j'ai chassé les phrases qui me venaient au petit matin ou au détour d'un souvenir, autant de débuts de romans sous toutes les formes possibles dont je ne voulais pas entendre le premier mot, j'ai établi la liste des obstacles quii ne manqueraient pas de se présenter à moi et des risques non mesurables que j'encourais à entreprendre un tel chantier. Ma mère constituait un champ trop vaste, trop sombre, trop désespéré : trop casse-gueule en résumé... Et puis j'ai appris à penser à Lucile sans que mon souffle en soit coupé... Je ne sais plus à quel moment j'ai capitulé, peut-être le jour où j'ai compris combien l'écriture, mon écriture, était liée à elle, à ses fictions, ces moments de délire où la vie lui était devenue si lourde qu'il lui avait fallu s'en échapper, où sa douleur n'avait pu s'exprimer que par la fable... Et puis, comme des dizaines d'auteurs avant moi, j'ai essayé d'écrire ma mère...

(p437)... Aujourd'hui, je ne cherche plus, je m'en tiens à la lettre que Lucile a laissée. J'entends Lucile comme elle aimait qu'on l'entende : au pied de la lettre. Elle savait et sentait que la maladie finirait par l'emporter, elle souffrait, elle était fatiguée. Les combats qu'elle avait menés tout au long de sa vie ne lui avaient pas donné la force de mener celui-là. Lucile est morte à soixante et un ans, avant d'être une vieille dame. Lucile est morte comme elle le souhaitait : vivante. Aujourd'hui, je suis capable d'admirer son courage."

Ce livre est un véritable coup de coeur. A lire absolument !

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29 janvier 2012 7 29 /01 /janvier /2012 10:00

soa-lee.jpg

                                  Tableau de Sao Lee

Le 25 janvier dernier j'ai vu un très beau film franco-québecois Café de Flore de Jean-Marc Vallée avec une sublime Vanessa Paradis, Kévin Parent (chanteur Québécois), Hélène Florent, Evelyne Brochu, Evelyne de la Chenelière, Alice Dubois, et le stupéfiant petit garçon Marin Gerrier... que je vous recommande. En voici le synopsis : Il n’est pas facile de dire adieu à ceux qu’on aime ; pour y parvenir, il faut parfois toute une vie - ou deux. Entre le Paris des années 1960 et le Montréal d’aujourd’hui se déploie une vaste histoire d’amour aux accents épiques, à la fois sombre et lumineuse, troublante et malgré tout pleine d’espoir. Film aussi captivant qu'étrange sur les âmes soeurs et les flammes jumelles, teinté de fantastique, baigné d’une lumière parfois presque surnaturelle, Café de Flore raconte les destins croisés de Jacqueline une jeune Parisienne mère qui veille jalousement sur son enfant unique et trisomique, d’Antoine un DJ montréalais qui tente de vivre en harmonie avec les femmes de sa vie. Ce qui les relie : l’amour, troublant, maladroit, imparfait et inachevé... humain. Café de Flore tient le spectateur en haleine et ne le laisse pas indemne. C'est un film sur toutes les formes d'amour, sur la force et la puissance de l'amour. De plus, toute la mise en scène est construite autour d'un univers sonore. La musique, tient donc une place importante dans ce film et elle est plus qu'envoûtante. Voici la bande annonce :

http://www.youtube.com/watch?v=GgJ8iXWSIy0

A noter que "Café de Flore" est un grand classique musical, un tube électro-jazzy de Matthew Herbert : à écouter ici

http://www.youtube.com/watch?v=LFDyalRZbfY&feature=fvwrel

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28 janvier 2012 6 28 /01 /janvier /2012 10:00

vols.jpg

Une vidéo superbe qui vous fait découvrir le monde à vol d'oiseau. A voir absolument !

http://www.youtube.com/embed/MOKseXu8FOs?mid=53

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                                    Jouets Kong

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