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  • kimcat
  • J'ai 2 passions : les livres et les chats
 j'ai un fils de 31 ans, une fille de 28 ans ( aussi passionnée que moi pour les livres...)
 j'ai écrit un roman " LISABELLE "
 Une histoire qui a pour toile de fond, le chat...
  • J'ai 2 passions : les livres et les chats j'ai un fils de 31 ans, une fille de 28 ans ( aussi passionnée que moi pour les livres...) j'ai écrit un roman " LISABELLE " Une histoire qui a pour toile de fond, le chat...

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 Mon roman :  LISABELLE
 (mars 2008)
 http://lisabelle.briot.free.fr/

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http://portaildulivre.com


Mon 2e Blog : link

 

http://kimcat1b58.eklablog.com/ 

26 octobre 2008 7 26 /10 /octobre /2008 10:31
Avant de vous retracer jour après jour les étapes de mon épopée canadienne, je dois classer ma documentation et coucher sur du papier les notes que j'ai prises au fur et à mesure... Comme je suis une passionnée des mots,  je me suis régalée de la pertinence verbale de mon guide Michel  qui m'a donné envie d'en savoir un peu plus sur les expressions typiquement québécoises ; j'ai donc acheté  un livre du Parler Québécois . Savez-vous ce que signifie : "avoir une crotte sur le coeur" ou bien "se péter les bretelles" ??? J'ai fort à parier que mes blogopotes québécoises sauront répondre !
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13 octobre 2008 1 13 /10 /octobre /2008 08:00
Le plancher des vaches : la terre ferme par opposition à la mer.
Donner un coup de pied en vache : donner un coup de pied sur le côté.
Faire un coup en vache : manœuvre, attaque sournoise.
"C'est une vache à lait" : personne qu'on exploite continuellement.
"Période de vaches grasses" et "période  de vaches maigres" : période d'abondance, période de pénurie ou de crise économique.
Être comme une vache qui regarde passer un train : avoir un air passif et stupide.
Parler français comme une vache espagnole : parler très mal.
Manger de la vache enragée : connaître la misère, les privations.
Être vache : être méchant, hargneux, sévère.
Une peau de vache : personne très méchante ou brutale.
"Ah ! La vache..." : exprime divers sentiments, dépit, surprise, admiration etc.
Une vache de... : marque l'admiration.
Vachement : beaucoup, très
Vacherie : méchanceté ou sévérité extrême
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26 septembre 2008 5 26 /09 /septembre /2008 08:00
                                                 Tableau de Debbie COOK
"Tant va la cruche à l'eau qu'à la fin elle se casse" signifie qu'à s'exposer sans arrêt à un péril, on finit par le déclencher. Les Italiens emploient "Tant va la chatte au lard, qu'elle y laisse la patte." (Tanto va la gatta al lardo che ci lascia)
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17 septembre 2008 3 17 /09 /septembre /2008 17:14
                         Chevaux crinières au vent, sans mors...
Ronger son frein , c'est retenir, refouler en soi son impatience, son dépit, sa colère, en s'efforçant de ne rien laisser éclater au-dehors ; cette  expression datant du XIVe siècle vient de la plus belle conquête de l'homme : le cheval. En effet le frein n'est rien d'autre que le mors, cette pièce métallique placée dans la bouche de l'animal et qui reliée aux rênes , sert à le diriger. Que peut faire le cheval en attendant son maître ? Mordre son mors... Dans cette métaphore, le "frein" bloque et brise l'élan de celui qui veut exprimer ses sentiments, et "ronger" est associé à cette énergie contenue qui devient corrosive et mine l'intérieur, faute de pouvoir l'extérioriser.
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15 septembre 2008 1 15 /09 /septembre /2008 08:00
                                               Tableau : Mary Kay Krell
Au moment du carême, au XVIe siècle, les chrétiens se régalaient de fruits secs à défaut de viandes et friandises. Les figues et les raisins étaient leurs fruits préférés, d'où le rapprochement de ces deux fruits dans cette locution "mi-figue, mi-raisin". Au XVe siècle, l'expression avec "moitié" au lieu de "mi" signifiait : "mêlé de bon et de mauvais". Mais c'est au XVIIe que l'expression a pris le sens utilisé encore aujourd'hui, en y ajoutant la signification : " moitié forcé, moitié consentant."
(source : La dépêche du Dimanche - 07 septembre 2008 - Bénédicte Jourdier)
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4 septembre 2008 4 04 /09 /septembre /2008 08:00

Ekrik Ekrak :Dans certains pays, comme dans l’Archipel des Antilles, lorsqu’on raconte une histoire devant un auditoire, on peut dire EKRIK ? Et l’auditoire répond : EKRAK ! Ce qui confirme que les deux parties sont en accord pour « entrer » dans le conte.

Caramba : Interjection.

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27 juin 2008 5 27 /06 /juin /2008 08:00
Les "mauvais coucheurs" retrouveront le sourire en apprenant que l'expression vient de "mauvais ouvrier coucheur" qui gâchait de la pâte à papier et que le papier couché vient de la posture qu'avait l'ouvrier qui étalait le couche de pâte tout comme  on couchait un enfant dans son lit... Cette pâte  qui sert à fabriquer  du papier peint, mâché, recyclé, timbré, kraft, calque, couché, crépon...
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28 février 2008 4 28 /02 /février /2008 11:57

mer-chat.jpg

       Courir après son ombrelle.
       Parler à coeur
couvert.
       Jouer à pile ou fesse (face)
       Rire aux mésanges.
       Déclarer sa flemme (flamme)

 

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4 janvier 2008 5 04 /01 /janvier /2008 14:26

medium-souci2.jpg

Si cette jaune fleurette symbolise le chagrin, c'est à cause d'un triste malentendu, d'une regrettable confusion, d'une malheureuse méprise. En effet, la fleur a pâti de son homonymie avec le souci, c'est-à-dire l'inquiétude, la contrariété. Pourtant les étymologies sont fort éloignées. Notre fleur se réfère au soleil, vers lequel elle reste tournée tout au long du jour solsequia, en latin "qui suit le soleil". L'autre souci, le sentiment, la préoccupation vient du verbe sollicatare, "tourmenter", "troubler"... Vous voyez le fossé ! Ils n'ont vraiment rien à voir, ces deux soucis !
(Source Le langage des fleurs de Michel Beauvais)
              Rustica éditions

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2 janvier 2008 3 02 /01 /janvier /2008 14:36

plume.jpg

Écrire donne un grand pouvoir. Celui de faire passer un message. De parler sans être interrompu. Car, dès lors qu’un écrivain est lu, il est écouté. Non pas que le lecteur soit du même avis. Non, le lecteur est simplement concentré sur l’objet de sa lecture. Il donne sa chance à l’auteur d’être entendu. L’enjeu pour lui est donc de trouver une oreille (ou plutôt des yeux !)  

Mais écrire est une activité à part entière. Écrire pour dire, écrire pour rire, écrire. Faut-il être écrivain pour se permettre d’écrire ? Mais d’abord qu’est-ce donc qu’un écrivain ? Où se trouve la frontière entre un écrivain dit amateur et un écrivain professionnel ? Comment passer de l’art à la profession ? De l’amateurisme au professionnalisme ? De la sphère privée au monde public ? Quelles formes peut prendre l’écriture ? Peut-on donner une valeur à un texte ? 

( Sujet traité par Sophie Commandé en Master Professionnel Commercialisation du Livre)

Hier, j'ai rejoint la communauté des "Auto-édités" créee par Irène. 
A travers une réflexion sur les écrivains amateurs, ma fille Sophie a tenté d'apporter quelques réponses à ces questions pertinentes. Je souhaite vous les faire partager.
A suivre...

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