Ile de Moorea vue du ciel
(Auteur Daniel Julie pour Wikimedia Commons)
Mes jeunes pigeons-voyageurs -voir ici leur site :
http://verslinfinietau2la.uniterre.com/
vont prendre le ferry mardi 12 pour se rendre sur l'île de Moorea où ils resteront jusqu'à la fin novembre ; dans l'espoir d'être bénévoles au sein de l'association Te Mana O Te Moana, qui oeuvre pour la protection des tortues marines.
http://www.temanaotemoana.org/fr/
Située à 17 kilomètres au nord-ouest de Tahiti, Mo'orea (qui se traduit en tahitien par "lézard jaune") en est séparée par un profond chenal dépassant par endroit les 1 500 mètres. De forme triangulaire, « l'île sœur » de Tahiti possède deux baies principales : la baie d'Ōpūnohu (ce nom vient des mots tahitiens 'ōpū : le ventre et nohu : le poisson-pierre) et la baie de Cook (du nom du célèbre navigateur James Cook 1728-1779). Elle est entourée par une barrière de corail ouverte sur l'océan Pacifique en 12 passes (Une passe récifale est une ouverture au sein d'un récif barrière). D'une superficie de 133,50 km², elle est peuplée de plus de 16 000 habitants regroupés dans plusieurs villages, principalement sur le littoral. Elle compte 8 montagnes, en partant du point culminant de l'île : le mont Tohiea (1207 m). Les principales activités sont le tourisme, la culture de l'ananas et la pêche. Mo'orea est la troisième île la plus visitée de la Polynésie française après Tahiti et Bora-Bora. De nombreuses plages de sable blanc et plusieurs complexes hôteliers s'offrent aux touristes. Mo'orea est également réputée comme l'« île des chercheurs » de Polynésie française par la présence de deux stations de recherche internationales importantes : la station de terrain Richard B. Gump de l'université de Californie à Berkeley en baie de Cook, et l'Institut des récifs coralliens du Pacifique issu du CRIOBE (Centre de recherches insulaires et observatoire de l'environnement).