Photo : LA ROQUE GAGEAC dans le Périgord Noir
Le Périgord tant de fois peint par les poètes et les amateurs de la nature, des vieilles pierres, des traditions, est un pays où les émotions sont décuplées.
J'avais visité en août dernier, le Périgord Vert au nord, avec Brantôme ( la Venise Verte) et sa falaise en croissant, avec le Parc naturel régional Périgord-Limousin, qui constitue un véritable écrin boisé, vallonné et sillonné d'une mutitude de ruisseaux.
Cette fois, j'ai découvert le Périgord Pourpre au sud en descendant vers l'embouchure de la Dordogne, le pays du Grand Bergeracois et ses bastides (cités médiévales anglaises comme Monpazier) où Histoire et Vignes sont mariés pour le meilleur.
Le Périgord Noir, avec ses majestueuses falaises, ses vallées de la Dordogne et de la Vézère offre des paysages immortellement beaux depuis des millénaires. C'est le pays du Sarladais, site de la Préhistoire.
Je ne connais pas encore le Périgord Blanc, pays de Périgueux et sa vallée de l'Isle au centre du département qui est le pays des plateaux de calcaire et des vastes prairies.
En 1939, l'écrivain Henri Miller, subjugué par la majesté des lieux, écrivit :
"Il se peut qu'un jour, la France cesse d'exister mais le Périgord survivra, tout comme les rêves dont se nourrit l'âme humaine."