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  • kimcat
  • J'ai 2 passions : les livres et les chats
 j'ai un fils de 31 ans, une fille de 28 ans ( aussi passionnée que moi pour les livres...)
 j'ai écrit un roman " LISABELLE "
 Une histoire qui a pour toile de fond, le chat...
  • J'ai 2 passions : les livres et les chats j'ai un fils de 31 ans, une fille de 28 ans ( aussi passionnée que moi pour les livres...) j'ai écrit un roman " LISABELLE " Une histoire qui a pour toile de fond, le chat...

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 Mon roman :  LISABELLE
 (mars 2008)
 http://lisabelle.briot.free.fr/

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18 octobre 2014 6 18 /10 /octobre /2014 10:02
fleurss
Une vidéo belle à couper le souffle
(Merci à Isa des Chats de mon Coeur)
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11 septembre 2014 4 11 /09 /septembre /2014 10:02

 raie-Manta_birostris-Thailand3.jpg

                Raie Manta (Photo Wikipedia)

Je vous propose de regarder une vidéo extraordinaire :   

http://www.youtube.com/watch?v=74mdJUaRNaA

C’est un phénomène exceptionnel auquel a assisté une équipe de la chaîne National Geographic. Les membres du groupe ont filmé un fabuleux spectacle de milliers de raies sautant hors de l’eau. Un évènement d’autant plus fantastique qu’il n’a jamais été observé auparavant.Une équipe de réalisation de National Geographic a capturé en vidéo ce magnifique ballet de raies, appelées diables de mer méditerranéens. C’est un banc composé de plusieurs milliers d’individus qui a été observé près de la côte de Baja California au Mexique. Personne ne sait pourquoi autant de raies se sont ainsi regroupées et pourquoi elles se sont mises à crever la surface de l’eau, comme si elles s’amusaient à sauter le plus haut possible.
Merci à ma copinaute Tachka
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27 août 2014 3 27 /08 /août /2014 09:00

poisson-pterois-a-antennes-wiki.jpg

             Ptérois à antennes (Photo Wikipedia)

Pierre Sigler, documentaliste et engagé auprès de L214, a réuni des travaux de recherche éthologique sur les poissons. Il en a publié un article sur le Huffington Post. Les observations et analyses qu'il nous rapporte dans cet article renforcent les informations déjà connues au sujet de ces animaux sensibles, intelligents et sociaux.

Lire l'article - part 2 - La vie sociale des poissons :

http://www.huffingtonpost.fr/pierre-sigler/la-vie-sociale-des-poissons_b_5674081.html

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26 août 2014 2 26 /08 /août /2014 10:01

howard robinson w info c

                   Illustration de Howard Robinson

Pierre Sigler, documentaliste et engagé auprès de L214, a réuni des travaux de recherche éthologique sur les poissons. Il en a publié un article sur le Huffington Post. Les observations et analyses qu'il nous rapporte dans cet article renforcent les informations déjà connues au sujet de ces animaux sensibles, intelligents et sociaux.

lire l'article - part 1 - l'intelligence des poissons :

http://www.huffingtonpost.fr/pierre-sigler/lintelligence-des-poissons_b_5673997.html

 

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7 août 2014 4 07 /08 /août /2014 10:02

merions-superbes.jpg

        Photo d'un couple de Mérion Superbe

       (le mâle est à gauche et la femelle à droite)

                   Wikimedia Commons

Le Mérion superbe est un petit oiseau, commun et familier en Australie du Sud-Est et en Tasmanie qui présente un fort dimorphisme sexuel : le mâle en plumage nuptial a la calotte, les couvertures parotiques, le manteau et les plumes de la queue d'un bleu éclatant ; les mâles non reproducteurs, les femelles et les jeunes ont un plumage plus uniforme dans les tons de gris-brun. Ce dimorphisme a par le passé valu à l'espèce d'être considérée comme polygame, les oiseaux ternes étant systématiquement pris pour des femelles. Le Mérion superbe est sédentaire et territorial. Comme d'autres Maluridae, il est remarquable pour plusieurs caractéristiques comportementales particulières ; les oiseaux sont socialement monogames et, bien qu'ils forment des couples entre un mâle et une femelle, chaque partenaire peut s'accoupler avec d'autres individus voire aider à l'élevage des jeunes d'autres couvées. Lors de la parade nuptiale, les mâles arrachent des pétales jaunes et les exhibent aux femelles. Le Mérion superbe se nourrit principalement d'insectes et complète son alimentation avec des graines. Il peuple une grande variété d'habitats, vivant presque dans n'importe quelle zone où il dispose au moins d'un petit taillis dense pour se mettre à l'abri, comme dans les pâturages avec quelques buissons épars, dans les forêts peu épaisses, les bois, les landes et les jardins privés. Il s'est bien adapté à l'environnement urbain et est commun dans les banlieues de Sydney, de Canberra et de Melbourne. Il mesure 14 centimètres de long et pèse de 8 à 13 grammes. Le Mérion superbe est considéré comme espèce de « préoccupation mineure » par l'Union internationale pour la conservation de la nature. (Source Wikipedia)

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6 août 2014 3 06 /08 /août /2014 11:54

lac-rose-hillier-aucune-explication-n-a-ete-donnee-quant-a-.jpg

Le Lac Hillier est situé dans l'île de « Middle Island », dans l'archipel de la Recherche, en Australie-Occidentale, et célèbre pour ses eaux rose vif. Découvert en 1802 par l'explorateur britannique Matthew Flinders, ce lac est long d'environ 600 mètres, cerclé d'un liseré de sels blancs, entouré d'une forêt d'eucalyptus et séparé de l'océan par un cordon de sable blanc. Il a des eaux d'un rose soutenu. Les scientifiques ont d'abord cru que sa couleur était due au fond du lac, mais même si l'on recueille un peu d'eau dans un verre, elle conserve sa couleur rose. Malgré la teinte inhabituelle, l'eau du lac ne présente pas d'effets indésirables connus sur les humains.

Le lac Hillier en Australie présente certainement une des plus grandes énigmes scientifiques. Son eau de couleur rose n’a jamais pu être expliquée depuis l’année de sa découverte en 1802 jusqu’à ce jour... A lire ici :

http://www.cagou.com/blog/australie-le-mystere-de-la-couleur-rose-de-leau-du-lac-hillier/

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28 juillet 2014 1 28 /07 /juillet /2014 10:00

milan-noir-wikimedia.jpg

            Milan noir (Photo Wikimedia Commons)

Après mon article du 21 juillet dernier

http://kimcat1b58.over-blog.com/article-un-milan-noir-miracule-de-la-route-124187019.html

voici la présentation de ce superbe oiseau :

Le Milan noir est reconnaissable à son allure lorsqu'il vole car sa queue a la forme d'un « V », caractéristique cependant partagée avec le Milan Royal à la queue plus échancrée. L'espèce peut être observée dans nombreux types d'habitat. Néanmoins, sa préférence va aux vallées de montagnes et aux terrains bas. Le site choisi doit tenir compte de deux impératifs : premièrement, la présence de grands arbres ou d'escarpements rocheux favorables à la nidification ; deuxièmement la proximité de cours d'eau, de lacs ou d'étangs qui sont nécessaires à son approvisionnement et à son alimentation. Le Milan noir peut également stationner en bordure des villes. Son comportement est opportuniste, il se fait souvent aider par les agriculteurs lors de labourage de champs, où il se regroupe en bande de quelques dizaines pour débusquer les rongeurs fuyards. Il niche dans des zones boisées ou caillouteuses, de préférence au bord de lacs et de grands fleuves, en principe de 500 m d'altitude et plus rarement jusqu'à 1 150 m. Le Milan noir est une espèce à l'aire de répartition extrêmement vaste qui comprend les zones tempérées et tropicales de l'Europe, de l'Asie, de l'Afrique tropicale et une partie de l'Australasie. Curieusement cette espèce est absente de la majorité des îles de l'archipel indonésien. Le Milan noir bénéficie d'une protection totale sur le territoire français depuis l'arrêté ministériel du 17 avril 1981 relatif aux oiseaux protégés sur l'ensemble du territoire. Il est inscrit à l'annexe I de la directive Oiseaux de l'Union européenne. Il est donc interdit de le détruire, le mutiler, le capturer ou l'enlever, de le perturber intentionnellement ou de le naturaliser, ainsi que de détruire ou enlever les œufs et les nids et de détruire, altérer ou dégrader leur milieu. Qu'il soit vivant ou mort, il est aussi interdit de le transporter, colporter, de l'utiliser, de le détenir, de le vendre ou de l'acheter. Le Milan noir arrive à vivre 20 ans. Il peut se reproduire à partir de deux ou trois ans. Le Milan noir n'est pas un très bon chasseur, mais il est pourtant capable de faire des acrobaties aériennes spectaculaires pour trouver sa nourriture. On le voit souvent planer très lentement à faible hauteur, pratiquement immobile, à la recherche d'une proie facile (lapereau, jeune oiseau) ou d'une charogne. Quand un poisson mort dérive sur une rivière, un fleuve ou un lac et que le milan le repère en volant, il descend sur lui en effectuant une série de glissades, de piqués et de dérapages spectaculaires. Rasant l’eau, il attrape le cadavre d’une patte et va manger son repas sur un perchoir. Charognard, il repère rapidement les cadavres des rongeurs ou des oiseaux. Il chasse également les insectes en vol. (Source Wikipedia)

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16 juillet 2014 3 16 /07 /juillet /2014 10:00

rat-trompette-desman-pyrenees-riv-balboa-prov-leon-david-.jpg

  Rat-trompette dans la rivière Balboa-Province Leon

          Espagne -Auteur David Perez- Wikipedia

Je vous propose de découvrir un curieux petit animal, endémique des Pyrénées. Il s'agit du Desman des Pyrénées ou Rat-trompette qui est un mammifère de la famille des talpidés. Il ne vit que dans les Pyrénées, dans le nord de l'Espagne et du Portugal. C'est un insectivore semi-aquatique et chétif (il pèse à peine 50 grammes), vivant à proximité des torrents et de mœurs essentiellement nocturnes. Il est surnommé rat à trompette à cause de la forme de son museau. C'est une des 79 espèces animales répertoriées comme vulnérables (en quasi-disparition) en France par le Centre de surveillance de la conservation de la nature. Le desman des Pyrénées vit dans les torrents et lacs des Pyrénées franco-espagnoles et du nord de la péninsule Ibérique. C’est un animal auréolé de mystère et discret, difficile à observer et qui craint peu l’homme. Il se nourrit exclusivement de larves aquatiques sensibles à la pollution : larves de plécoptères, de trichoptères et d'éphéméroptères.  Pour cette raison il est considéré comme un marqueur de son environnement. Le Desman ressemble anatomiquement à d'autres animaux tels le rat, la taupe ou la musaraigne. Il a une espérance de vie de trois ou quatre ans. Il n'y a jamais eu d'accouplement lorsque l’animal est en captivité. De plus, si l’aménagement de son enclos ne correspond pas à ses exigences, le rat-trompette se laissera dépérir, ce qui prouve qu'il faut respecter au mieux son biotope. Sa population s’élèverait à moins de 17 000 individus sur la zone française. On pourrait estimer que cette population est suffisante pour garantir un taux de naissance au-delà du seuil de régénérescence de l’espèce, et donc augmenter le nombre de spécimens, mais le taux de mortalité augmentant, le nombre d’individus se stabilise. Il ne faudrait pas que cette tendance très « aléatoire » ne s’inverse en défaveur du desman des Pyrénées. La pollution anthropique atteint cependant de plus en plus son habitat, ce qui marque la nécessité d'une action à ce sujet afin d'éviter sa disparition. Le Desman des Pyrénées bénéficie d'une protection totale sur le territoire français depuis l'arrêté ministériel du 17 avril 1981 relatif aux mammifères protégés sur l'ensemble du territoire. Il est inscrit à l'annexe II de la convention de Berne. Il est donc interdit de le détruire, le mutiler, le capturer ou l'enlever, de le perturber intentionnellement ou de le naturaliser, ainsi que de détruire, altérer ou dégrader son milieu. Qu'il soit vivant ou mort, il est aussi interdit de le transporter, colporter, de l'utiliser, de le détenir, de le vendre ou de l'acheter.

L’homme est le pire prédateur du Desman. Les pisciculteurs tuent, du fait des croyances populaires, des centaines de Desmans chaque année (une campagne d’information semble s’imposer). Il doit donc s’investir dans la sauvegarde d’un animal inoffensif. Un autre danger, issu également de l’explosion technologique de ces dernières décennies, menace le desman : ce sont les retenues d’eau. Ces retenues, en effet, font varier le débit du cours d’eau, ce qui entraîne une modification brutale du niveau et de la température. Les pollutions, par des décharges sauvages, influencent également l’écosystème aquatique. Les variations du courant, de la profondeur, de l’acidité et de la teneur en oxygène tuent irrémédiablement les larves de trichoptères et d’éphéméroptères, qui constituent principalement l’alimentation du desman. Ce dernier est donc condamné à périr de faim.

L’avenir du Desman, espèce emblématique des Pyrénées, tant en France que dans la péninsule ibérique, repose à l’évidence essentiellement sur la conservation et la restauration de son habitat.

(Source Wikipedia)

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30 juin 2014 1 30 /06 /juin /2014 10:00

libellule-LestesVirensVestulaMale-christian-fischer.jpg

         Libellule (Lestes Virens Vestula mâle)

           Photo Christian Fischer (Wikipedia)

Les libellules sont agiles, précises et inégalées au vol. Leur robuste stucture est capable de supporter leur grande masse musculaire propulsant leurs ailes larges et étendues. Leur vol caractéristique leur permet des prouesses interdites aux autres insectes. En effet, leur ailes antérieures et postérieures sont indépendantes. Les libellules peuvent ainsi voler sur place, et même en arrière. Elles peuvent faire des pointes à 36 km/h, alors qu'un frelon, par exemple, ne peut dépasser 22 km/h. Leur vitesse ascensionnelle atteint 1,5 m/s (soit 5,4 km/h) alors que les autres insectes volants sont limités à 0,4 m/s (soit 1,44 km/h). La tête, très mobile, bouge indépendamment du thorax, et peut donc restée  immobile en plein vol. (Principale source : Wikipedia)

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26 juin 2014 4 26 /06 /juin /2014 10:00

Libellule_bleue-calopteryx_virgo--Bretagne-ewenRD.jpg

     Libellule bleue (calopteryx virgo) en Bretagne

            Photo EwenRD -Wikipedia

Les libellules et papillons perdent leur couleurs avec le réchauffement climatique.
Une équipe d'écologues a mis en évidence un lien direct entre le climat, la couleur et l'habitat des libellules et des papillons. Ils ont montré que les insectes arborant des couleurs claires, localisés principalement dans le sud de l'Europe sont en train de remonter vers le nord suite au réchauffement climatique. Ce constat pose problème pour les espèces foncées, localisés habituellement dans le nord, qui pourraient être contraintes d'abandonner leur territoire actuel et de se replier vers des habitats plus ombragés.
Plus d'infos ici : http://bit.ly/1snt9pv

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